Qu'est-ce que la naturopathie ?

Il est essentiel de rappeler qu’un suivi en naturopathie fonctionnelle ne remplace pas un traitement médical par un traitement dit « naturel ».

Un naturopathe professionnel doit être en mesure de te renvoyer vers un autre professionnel de santé s’il y a nécessité d’une prise en charge complémentaire comme un avis médical pour un diagnostic ou des examens supplémentaires afin de vérifier une problématique sous-jacente.
La médecine conventionnelle est experte en matière de pathologies aiguës, de recherches, d’examens, de diagnostics ou encore pour établir un traitement rapide et efficace afin de diminuer des symptômes. Et oui, les antibiotiques peuvent contribuer à semer la zizanie entre tes bactéries « sympas » et celles qui le sont moins, mais ils sont parfois nécessaires à juste titre.

Sauf que les maladies de ce siècle s’inscrivent de plus en plus dans des processus d’inflammations chroniques et de stress oxydant (de la rouille quoi !) traitées par des médicaments qui sont à la base très efficaces en phase aiguë mais qui engendrent des effets secondaires importants lorsqu’ils sont pris sur le long terme : comme les inhibiteurs de la pompe à proton, les anti-inflammatoires, les antalgiques, les contraceptifs hormonaux ou encore les statines.

La naturopathie a comme mission de transformer ces cercles vicieux en restant centrée sur la personne et non sa maladie. C’est une médecine complémentaire et intégrative car elle travaille à partir d’une collaboration avec les autres professionnels de santé ou du bien-être. On peut qualifier cette médecine comme « désegmentée », c’est-à-dire que le naturopathe ne travaille pas sur un seul axe comme le « système cardio-vasculaire » ou encore, à faire disparaître des symptômes et des pathologies.

Et oui ! Un de ses rôles principaux est de trouver les causes des dysfonctions ayant pu entraîner la maladie et qui sont à l’origine des souffrances. Pour cela, il est important que le consultant s’engage à transmettre son histoire et ses habitudes de vie, son état psychologique et émotionnel, ses antécédents personnels et familiaux ainsi que ses symptômes évoqués. A partir de ces données, le naturopathe va proposer des actions pour permettre au corps de rééquilibrer naturellement son fonctionnement physiologique. Ce suivi vise donc l’optimisation de ta santé en t’invitant à devenir acteur et responsable de ton bien-être.

Il est essentiel de rappeler qu’un suivi en naturopathie fonctionnelle ne remplace pas un traitement médical par un traitement dit « naturel ».

Un naturopathe professionnel doit être en mesure de te renvoyer vers un autre professionnel de santé s’il y a nécessité d’une prise en charge complémentaire comme un avis médical pour un diagnostic ou des examens supplémentaires afin de vérifier une problématique sous-jacente.
La médecine conventionnelle est experte en matière de pathologies aiguës, de recherches, d’examens, de diagnostic ou encore pour établir un traitement rapide et efficace afin de diminuer des symptômes. Et oui, les antibiotiques peuvent contribuer à semer la zizanie entre tes bactéries sympas et celles qui le sont moins mais ils sont parfois nécessaires à juste titre.

Le Collectif Naturopathie regroupant, organisation, syndicat, fédération et association garantissant la « sécurité et qualité des services proposés » par les naturopathes dans le souci de protéger les usagers, propose cette définition du métier :
La naturopathie « repose sur l’art de rester en bonne santé, en étant un acteur autonome et en prenant soin de soi par des moyens naturels. »

Elle englobe l’individu sur toutes ses dimensions parce qu’elle suppose que l’humain, dans l’entièreté qui le caractérise, peut s’exprimer sur différents plans : physique, biochimique, émotionnel, mental et socioculturel. »
Enfin, il est intéressant de savoir que cette médecine complémentaire fait aujourd’hui l’objet de pratiques et techniques validées par la science : 2000 études scientifiques et 300 études cliniques.

Sauf que les maladies de ce siècle s’inscrivent de plus en plus dans des processus d’inflammations chroniques et de stress oxydant (de la rouille quoi !) traités par des médicaments qui sont à la base très efficaces en aigue mais qui engendre des effets secondaires importants lorsqu’ils sont pris sur le long terme comme les inhibiteurs de la pompe à proton, les anti-inflammatoires, les antalgiques, les contraceptifs hormonaux ou encore les statines.
La naturopathie a comme mission de transformer ces cercles vicieux en restant centré sur la personne et non sa maladie. C’est une médecine complémentaire et intégrative car elle travaille à partir d’une collaboration avec les autres professionnels de santé ou du bien-être.

On peut qualifier cette médecine comme « désegmentée », c’est-à-dire que le naturopathe ne travaille pas sur un seul axe comme le « système cardio-vasculaire » ou encore, à faire disparaître des symptômes et des pathologies.
Et oui ! Un de ses rôles principaux est de trouver les causes des dysfonctions ayant pu entraîner la maladie et qui sont à l’origine des souffrances. Pour cela, un engagement se fait afin de dresser un bilan qui intègre l’histoire et les habitudes de vie, l’état psychologique et émotionnel, les antécédents personnels et familiaux ainsi que les signes évoqués. A partir de ces données, le naturopathe va proposer des actions pour permettre au corps de rééquilibrer naturellement son fonctionnement physiologique. Ce suivi vise donc l’optimisation de ta santé en t’invitant à devenir acteur et responsable de ton bien-être.

Le Collectif Naturopathie regroupant, organisation, syndicat, fédération et association garantissant la « sécurité et qualité des services proposés » par les naturopathes dans le souci de protéger les usagers, propose cette définition du métier :
La naturopathie « repose sur l’art de rester en bonne santé, en étant un acteur autonome et en prenant soin de soi par des moyens naturels.

Elle englobe l’individu sur toutes ses dimensions parce qu’elle suppose que l’humain, dans l’entièreté qui le caractérise, peut s’exprimer sur différents plans : physique, biochimique, émotionnel, mental et socioculturel. »
Enfin, il est intéressant de savoir que cette médecine complémentaire fait aujourd’hui l’objet de pratiques et techniques validées par la science : 2000 études scientifiques et 300 études cliniques.